
Une photo déjà vue mille fois sur Twitter, William Harley et Arthur Davidson sur leur engin en 1914… et je pense à la chanson que Gainsbourg avait écrite pour Brigitte Bardot…
Et je commets l’irréparable, que voici !
Je n’ai besoin de personne
Entre Harley et Davidson
Je n’reconnais plus personne
Harley ou Davidson ?
Les quatre fers en l’air
Et voici que je quitte la terre
C’est p’tète pas le paradis
Mais j’prends un pied d’enfer !
Je n’ai besoin de personne
Entre Harley et Davidson
Je n’reconnais plus personne
Harley ou Davidson ?
Leur bite entre mes seins,
Il faut dire qu’elles y sont bien
Je préfère bien mieux leur vit
Qu’un baiser sur la main !
Quand je sens tôt le matin
Les trépidations de leur grosse pine
Il me monte du plaisir
Dans le creux de mes reins
Je n’ai besoin de personne
Entre Harley et Davidson
Je n’reconnais plus personne
Harley ou Davidson ?
Ils font bouillir mon sang
À deux, à trois, à dix, à cent
Putain, qu’ils me font jouir
Des orteils jusqu’aux dents !
Putain, qu’ils me font jouir
Des orteils jusqu’aux dents !