
Pour remercier Vincent de ce cadeau qu’il venait de nous faire, je lui ai proposé d’échanger nos places. Il est retourné dans le cabinet de la curiosité et je suis allée dans la salle, mais sans mettre le casque, je voulais qu’il m’entende, mais je n’avais pas envie de l’entendre. J’avais un peu peur que ça me paralyse.
Je me suis déshabillée en prenant tout mon temps, je voulais l’aguicher et ça me faisait un drôle d’effet de le lui dire. Quand j’ai été complètement nue, je me suis installée de telle façon qu’il ait le meilleur point de vue possible, à la fois sur mon corps, sur mon sexe et sur mon visage.
J’ai commencé à me caresser, sans retenir mes gémissements de plaisir. Je savais que j’étais rouge d’excitation, mais aussi un peu de honte de le faire non seulement devant mon cousin, mais surtout pour mon cousin et de constater que mon plaisir était encore plus fort à cette idée.
C’est à ce moment, qu’Enzo est entré dans la pièce. Il a été surpris de me voir là. J’étais tellement concentrée sur le plaisir qui montait en moi (en plus, j’avais fermé les yeux) que je ne l’ai pas entendu arriver. Je ne me suis rendu compte de sa présence que lorsqu’il m’a parlé.
– Pauline ? Je te manquais à ce point ?
J’ai sursauté, j’ai bafouillé.
– Tu es encore plus rouge que d’habitude ! Tu regrettes Avranches et toutes les fois où tu ne voulais pas ?
– Oui et non… On… je tentais quelque chose…
– Genre « une espérience ès scientifique », comme disent les anciens ?
– Genre…
J’ai regardé en direction de Vincent. Il y a un miroir juste à côté, j’ai vu à quel point j’étais rouge. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai su qu’il ne m’en voudrait pas si j’expliquais tout à Enzo.
– Vincent me regarde me toucher, j’ai honte quand il est juste à côté de moi, mais en même temps ça m’excite de ouf de savoir qu’il me mate, alors on a eu l’idée de… Et toi, pourquoi tu es venu ?
– Pour récupérer des boissons fraîches dans le frigo et les apporter dans la maison du Toine. Avec Manon, on va préparer une petite fête pour le retour de Lucas et Émilie. J’ai vu deux canettes vides sur la table de la cuisine, elles étaient encore fraîches et je t’ai entendue… alors, j’ai voulu voir. C’est quoi ce drôle de sourire ? C’est la joie de retrouver Lucas ?
– Euh… oui, mais je me demandais… puisque tu es là… si tu as un peu de temps devant toi… Tu voudrais bien ? Mais ne te sens pas obligé, surtout !
– Pauline ! Tu me prends pour qui ?! Il est à la fois question de science et de… Comment, ils disent, là-bas, les vieux ? Ah oui de « cohésion de groupe » !
Enzo s’est dessapé en riant. Il a dit à Vincent « Tu me diras si je suis à la hauteur quand je fais l’amour à Pauline. Tu as vu comme elle est rouge ? Putain, ça me fait bander encore plus fort ! ». Il a écarté mes cuisses encore plus qu’elles ne l’étaient déjà et m’a pénétrée. J’aime bien quand il le fait comme ça parce que j’ai l’impression qu’on ne fait plus qu’un tellement il me remplit. Ma voix était super sexy quand je lui parlais, je ne saurais pas la décrire précisément, mais vraiment, vraiment sexy.
– Ça te fait quoi ? Qu’est-ce que tu ressens ?
– Bé… j’adore, mais tu le sais déjà, Pauline que j’adore le faire avec toi !
– C’est comment en moi ?
– C’est chaud… humide… serré… mais tu mouilles bien alors… ça coulisse bien… c’est bon !
– Retire-toi, Enzo et montre à mon cousin combien tu me fais mouiller !
– Putain, Pauline ! Ta voix ! Ouah ! J’adore !
Enzo s’est retiré.
– Voilà dans quel état est ma queue, Vincent… Désolé, j’y retourne !
– Oh, j’adore quand tu sors et que tu rentres comme ça… oh oui ! Comme ça ! Encore ! Oh et tes mains sur mes seins… oh !
– De vous trois, je crois que c’est tes seins que je préfère… hmmm… Tu es encore plus bandante quand tu fais ça avec ta bouche ! Vé, Vincent, regarde comme elle va bien me sucer, ta cousine !
J’ai sucé l’énorme queue d’Enzo en essayant d’être la plus vicieuse possible, mais sans vulgarité (c’est pas facile). Après, il m’a prise comme j’aime tant qu’il me prenne. Il s’est retiré, a fait admirer sa teub à Vincent et je l’ai sucé une nouvelle fois avant qu’il me reprenne.
On a joué à ce petit jeu pendant un long moment. J’y ai pris encore plus de plaisir que je ne l’aurais imaginé. Avec Enzo on s’était mis d’accord pour qu’il jute dans ma bouche, parce qu’il aime bien regarder quand on le fait et que moi aussi (quand il y a un miroir bien placé et là, c’était le cas). Seulement, tandis qu’il allait et venait en moi, ses mains caressant mes seins, il s’est penché pour m’embrasser et un orgasme m’a saisie… Il était tellement fort que j’ai cru mourir. Il était tellement puissant qu’Enzo n’a pas pu retenir le sien. On s’embrassait toujours.
Quand Enzo s’est redressé, tandis qu’il se retirait, j’ai tourné mon visage vers le miroir et j’ai adressé un clin d’œil à Vincent « Celui-là, il est pour toi ! » Aucun son n’est sorti de ma bouche, Enzo ne l’a pas remarqué, mais Vincent a pu lire mes mots sur mes lèvres.